Nos alumni ont la parole : Rencontre avec Nathanaël Lecompte (S2021)

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Nathanaël est un jeune diplômé de l’ISAE-SUPAERO, ingénieur de formation, qui, parmi toutes les opportunités qui s’offraient à lui, a choisi la filière des énergies renouvelables. Il nous explique ses motivations et son parcours !

Nathanael Lecompte

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?

J’ai un parcours académique assez classique, baccalauréat scientifique, prépa et concours Mines Ponts, j’ai intégré l’ISAE-SUPAERO en 2017. En deuxième année, je suis parti en semestre de substitution à l’Université Politehnica de Bucarest en Roumanie afin de découvrir l’Europe de l’Est.

Pendant mon année de césure, j’ai réalisé un stage à la Stratégie et Développement chez EDF, c’est aussi là-bas que j’ai développé mon appétence pour les EnR (Energies Renouvelables). Fort de cette expérience, j’ai décidé d’orienter mes recherches de stage de fin d’études dans une entreprise du secteur, j’ai alors contacté un alumni qui travaillait dans ce domaine et il m’a conseillé ELYS. Ce stage m’a beaucoup apporté et j’ai décidé d’y débuter ma carrière. L’esprit PME me convenait parfaitement : très agile avec suffisamment de cadre pour progresser vite, mais qui laisse aussi une certaine liberté.

Quelles fonctions occupez-vous aujourd’hui chez ELYS ?

Elys est une PME de 35 personnes spécialisée dans la maîtrise d’œuvre et l’assistance à maîtrise d’ouvrage dans le domaine des EnR. Elle intervient en particulier dans le domaine de la construction d’infrastructures d’EnR : parcs éoliens, parcs photovoltaïques et postes de transformation HTB (Haute tension) /HTA (Moyenne Tension) privés. Nous accompagnons nos clients dans la conception et la réalisation de leurs projets.

Je suis rattaché à l’agence de Paris où j’exerce les fonctions de responsable raccordement et projets HTB. Je m’occupe de la conception et de la réalisation de postes privés HTA/HTB pour le raccordement des parcs d’énergies renouvelables sur le réseau de transport d’électricité RTE.

En quoi la formation à l’ISAE-SUPAERO vous a aidé dans ce parcours ?

Je pense que le tronc commun à l’Institut permet d’avoir un regard pluridisciplinaire sur un projet complexe. Les étudiants et alumni ont une capacité importante à apprendre rapidement sur des sujets pour lesquels ils sont initialement néophytes. C’est un réel atout que l’école a pu me donner. Quand nous sortons de l’école, nous ne sommes pas spécialistes de tous les sujets mais nous avons appris à monter en compétences.
Lorsque je suis arrivé à l’Institut, je n’étais pas particulièrement au fait des enjeux environnementaux, mais j’ai senti que ces problématiques étaient très présentes chez les étudiants et dans la formation, et j’ai pu être témoin de cette évolution tout le long de mon parcours. Comme nous sommes dans une école flexible, elle s’adapte aux enjeux sociétaux et environnementaux. C’est une force aujourd’hui. Cela s’illustre notamment avec la création de la filière ETE (ÉNERGIE, TRANSPORT ET ENVIRONNEMENT) en 2015 et du nombre croissant des élèves qui s’y inscrivent chaque année.

Avez-vous des conseils à donner à nos étudiants ?

Selon moi, une autre force de l’ISAE-SUPAERO, c’est que l’Institut reste une école à dimension humaine avec un environnement de travail bienveillant. De ce fait, je pense que les étudiants peuvent réaliser leurs rêves en s’appuyant sur la Direction de la Formation, sur l’école de façon plus globale et sur le réseau des alumni. Aucun n’élève n’a le même parcours, et l’école a toujours réussi à s’adapter aux projets de chacun pour les accompagner jusqu’à leurs réalisations. Il ne faut pas hésiter à la solliciter !

Les EnR sont un marché avec de gros besoins, il y a des plans sur plusieurs décennies, avec de très importantes perspectives d’emploi. Si des élèves de l’ISAE-SUPAERO sont intéressés dans le domaine des énergies renouvelables pour un stage ou un emploi, qu’ils n’hésitent pas à me contacter sur Linkedin ou par mail.

Pour finir, je pourrais leur conseiller de travailler dans un milieu qui est en accord avec leurs valeurs, il est important pour moi de croire en ce que je fais. Quand on commence à travailler à 23 ans, si on ne croit pas en ce que l’on fait, le temps risque de paraître long !

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