Alexandre LeRoch reçoit le prix de thèse de la Fondation ISAE-SUPAERO pour sa thèse menée à l’ISAE-SUPAERO !

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Alexandre LeRoch reçoit le prix de thèse de la Fondation ISAE-SUPAERO pour sa thèse menée à l'ISAE-SUPAERO !
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18 janvier 2021

Alexandre LeRoch reçoit le prix de thèse de la Fondation ISAE-SUPAERO pour sa thèse menée à l’ISAE-SUPAERO !

Alexandre Le Roch, doctorant au Département Electronique, Optronique et Signal (DEOS) reçoit le prix de thèse de la Fondation ISAE-SUPAERO pour ses travaux sur l’Analyse de l’augmentation et de la fluctuation discrète du courant d’obscurité des imageurs CMOS dans les environnements radiatifs spatiaux et nucléaires.
Diplômé de l’Institut National des Sciences Appliquées de Rennes (INSA Rennes) en 2015, Alexandre débute sa thèse à l’ISAE-SUPAERO en 2017 après une période passée chez STMicroelectronics à Singapour. Vincent Goiffon, professeur à l’ISAE-SUPAERO et Cédric Virmontois du Centre National d’Etudes Spatiales (CNES) ont assuré la direction de cette thèse réalisée avec le soutien du CNES et le Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA).
Ses travaux de thèse portent sur l’étude des effets des radiations spatiales et nucléaires sur les capteurs d’images CMOS dans le but d’améliorer les instruments spatiaux et le diagnostic des plasmas pour la fusion nucléaire. Plus spécifiquement, l’étude se concentre sur les défauts cristallins induits par les radiations et responsables de l’augmentation du courant d’obscurité. Ces travaux contribuent à l’amélioration des connaissances des principes physiques mis en jeu dans le silicium face aux radiations.
Alexandre est auteur ou co-auteur de 11 publications. Il a présenté ses travaux lors des conférences internationales RADECS 2017, NSREC 2018, IISW 2019 et NSREC 2019. Au cours de sa thèse, il fut le lauréat de différentes distinctions. Parmi elles, lui sont décernés, la bourse internationale « Paul Phelps Award » par le chapitre NPSS d’IEEE (Institut des Ingénieurs Electriciens et Electroniciens) ainsi que le prix du meilleur article étudiant et meilleur article de la conférence RADECS 2019. Alexandre a également participé à l’ouverture de la branche étudiante IEEE à l’ISAE-SUPAERO en 2017 et l’a présidée jusqu’en 2020.
Alexandre Le Roch a soutenu sa thèse en juillet 2020, et travaille actuellement comme ingénieur de recherche à l’ISAE-SUPAERO en collaboration avec le CNES. Ses activités de recherche se concentrent sur la tenue des capteurs d’images CMOS face aux radiations pour de futures missions d’exploration du système Jovien (Jupiter), un environnement radiatif très sévère. Il intègrera bientôt le Goddard Space Flight Center (GSFC) de la NASA pour poursuivre ces travaux sur la tenue aux radiations des systèmes d’imagerie.
𝗜𝗹 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲 𝘀𝗮 𝘁𝗵𝗲̀𝘀𝗲 𝗲𝗻 𝟯 𝗺𝗶𝗻𝘂𝘁𝗲𝘀 𝘁𝗼𝗽 𝗰𝗵𝗿𝗼𝗻𝗼
Un prix de thèse remis par la Fondation ISAE-SUPAERO pour l’excellence des recherches menées et les perspectives d’application de la thèse.

SapienSapienS 2:53 min

Alexandre Le Roch, doctorant au Département Electronique, Optronique et Signal (DEOS) reçoit le prix de thèse de la Fondation ISAE-SUPAERO pour ses travaux sur l’Analyse de l’augmentation et de la fluctuation discrète du courant d’obscurité des imageurs CMOS dans les environnements radiatifs spatiaux et nucléaires.

Diplômé de l’Institut National des Sciences Appliquées de Rennes (INSA Rennes) en 2015, Alexandre débute sa thèse à l’ISAE-SUPAERO en 2017 après une période passée chez STMicroelectronics à Singapour. Vincent Goiffon, professeur à l’ISAE-SUPAERO et Cédric Virmontois du Centre National d’Etudes Spatiales (CNES) ont assuré la direction de cette thèse réalisée avec le soutien du CNES et le Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA).

Ses travaux de thèse portent sur l’étude des effets des radiations spatiales et nucléaires sur les capteurs d’images CMOS dans le but d’améliorer les instruments spatiaux et le diagnostic des plasmas pour la fusion nucléaire. Plus spécifiquement, l’étude se concentre sur les défauts cristallins induits par les radiations et responsables de l’augmentation du courant d’obscurité. Ces travaux contribuent à l’amélioration des connaissances des principes physiques mis en jeu dans le silicium face aux radiations.

Alexandre est auteur ou co-auteur de 11 publications. Il a présenté ses travaux lors des conférences internationales RADECS 2017, NSREC 2018, IISW 2019 et NSREC 2019. Au cours de sa thèse, il fut le lauréat de différentes distinctions. Parmi elles, lui sont décernés, la bourse internationale « Paul Phelps Award » par le chapitre NPSS d’IEEE (Institut des Ingénieurs Electriciens et Electroniciens) ainsi que le prix du meilleur article étudiant et meilleur article de la conférence RADECS 2019. Alexandre a également participé à l’ouverture de la branche étudiante IEEE à l’ISAE-SUPAERO en 2017 et l’a présidée jusqu’en 2020.

Alexandre Le Roch a soutenu sa thèse en juillet 2020, et travaille actuellement comme ingénieur de recherche à l’ISAE-SUPAERO en collaboration avec le CNES. Ses activités de recherche se concentrent sur la tenue des capteurs d’images CMOS face aux radiations pour de futures missions d’exploration du système Jovien (Jupiter), un environnement radiatif très sévère. Il intègrera bientôt le Goddard Space Flight Center (GSFC) de la NASA pour poursuivre ces travaux sur la tenue aux radiations des systèmes d’imagerie.

𝗜𝗹 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲 𝘀𝗮 𝘁𝗵𝗲̀𝘀𝗲 𝗲𝗻 𝟯 𝗺𝗶𝗻𝘂𝘁𝗲𝘀 𝘁𝗼𝗽 𝗰𝗵𝗿𝗼𝗻𝗼

Un prix de thèse remis par la Fondation ISAE-SUPAERO pour l’excellence des recherches menées et les perspectives d’application de la thèse.

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6 mars 2023

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La plateforme EMpEROR est née de la prise en compte croissantes des phénomènes aéroélastiques dans l’aéronautique moderne, et de la synergie entre les départements Aérodynamique Energétique et Propulsion (DAEP), et Mécanique des Structures et Matériaux (DMSM).
Cette plateforme a été conçue et réfléchie pour permettre une grande modularité de métrologie, autour d’un banc rotor permettant de faire tourner de 1 à 6 pales, jusqu’à 1 mètre de diamètre, de 0 à 3000 rpm en toute sécurité grâce à une cage de protection de 6 mètres de long. Elle est équipée de plusieurs capteurs pour les mesures de performance, et d’un système de vibrométrie rotative permettant la mesure de la dynamique des pales. Le banc permet d’embarquer des systèmes de mesure dans les pales, ainsi que des systèmes permettant de contrôler ces phénomènes instables.
Depuis 2020, cette plateforme a également permis à deux étudiants en thèse et à 6 étudiants de Master de travailler sur les phénomènes aéroélastiques. Cette plateforme permet de générer des bases de données expérimentales utilisées par des chercheurs de l’ISAE-SUPAERO pour comparer et valider leurs codes de calcul.
L’équipement montera en puissance en 2024 avec la possibilité de faire des mesures Laser, de type PIV ou/et LDV, ainsi que la possibilité de fabriquer des pales plus complexes avec la main sur la flexibilité de celles-ci.
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